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EDWARD WOOD ♦ maintenant, je sais que c'est la fin...

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Edward J. Wood
Edward J. Wood
Age du joueur : 32
Lieu de naissance : Texas...le premier qui me sort Texas Walker j'le bute !
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MessageSujet: EDWARD WOOD ♦ maintenant, je sais que c'est la fin... EDWARD WOOD ♦ maintenant, je sais que c'est la fin... EmptyMer 23 Nov - 11:56


WOOD && EdDWARD JAMES
Feat. Robert Downey Jr

Anniversaire ▬ 21 Mars 1970, Texas. Groupe ▬ CIVIL IMMUNISÉ Etat Civil▬ Divorcé, père d'une fille de 19 ans ... Travail ▬ Prof d'histoire Habitudes ▬ Après avoir fracasser son réveil contre un mur, n’importe lequel, c’est à vous d’imaginer lequel, Edward se lève en ronchonnant et va boire un café et s'allume une clope, la meilleur de la journée, après avoir fait un tour par la case water. Ensuite, il allume sa chaine, se met un bon vieux cd de rock and roll, de préférence AC/DC ou The Beatles et saute dans la douche. Une fois, laver, habillé…il s’affale dans le canapé en somnolant jusqu’à 07h et des brouettes et finalement, se relève, chope les clefs de sa Chevrolet et file en direction de l’établissement où il essaye d'enseigner l'histoire à des élèves récalcitrants.
Cette routine est ancré en lui depuis son divorce et cela resta ainsi jusqu’à ce jour funeste du 2 Janvier 2012. Depuis, ses habitudes restent les même :
Se cacher, courir, fuir, se battre, défoncer la gueule de quelques zombie de temps à autre, fumer, courir, fumer, dormir, fumer, courir, fumer, se cacher…et ainsi de suite. Pas facile la vie d’un rescapé quand on est pas habitué à croisé des cadavres ambulant dans la rue. Et le pire dans tout ça, c’est que c’est même pas Halloween !


Prologue

PSYCHOLOGIE ▬ J’ai plutôt l’sang chaud. Que veux tu p’tit gars de la ville, un Texan ça répond par les poings. Ouais, j’suis plutôt à te flanquer une bonne correction et après on discute. T’as quelque chose contre ça ? Tu veux en découdre peut être ? Pas de problème, on sort derrière le bar et j’te flanque ta raclé ; Sam à récemment réparé quelques tables de la baston d’la semaine dernière, j’voudrais pas lui faire trop de grabuge. Quoi ? On va éviter ? C’est bien, tu deviens raisonnable garçon. Allez, j’suis pas rancunier, j’t’offre un verre ! Samy, deux verre de sky, pour moi et mon ami. Vois tu machin…tiens d’ailleurs, c’est quoi ton nom déjà ?…C’est pas un nom de fillette qu’t’as là ! Enfin, vois tu, comme j’te disais quelques minutes plus tôt, j’suis quelqu’un de bagarreur, ’pas intérêt de me cherche des noises, c’est moi qui te le dit. Enfin, t’en fais pas, j’passe pas ma vie à frapper sur tout l’monde, j’suis aussi un mec bien comme dirait Samy quand l’alcool lui délie la langue. Simplement, la vie est pas cool et les gens passe leur temps à se persécuter les uns les autres. Si tu veux pas qu’on te cherche d’embrouille, deviens toi-même persécuteur. Enfin non, là j’dis des conneries. Seulement, ne te laisse pas marcher sur les pieds, c’est mon conseil. Un mec te cogne, ne tend pas l’autre joue, vise plus bas…’tain, j’ai l’impression d’passer chez un psy avec ces conneries. Hum, la seule personne avec qui j’suis relativement cool, c’est ma fille. Faut dire qu’elle sait y faire la gosse.

Oh putain, j’sais pas toi, mais j’commence à être légèrement bourré. Ca fait quoi, deux heures qu’on discute et j’ai pas l’vu temps passé…ni les bouteilles d’ailleurs. Allez, t’en prendra bien un pour la route machin ?

Ouais comme j’disais, j’suis bagarreur et…Comment, je te l’ai déjà dit ? Hum…voyons voir. Ah, je sais ! Tu connais la blague de l’éléphant dans un bar…quoique, j’me demande si c’est pas dans un magasin de porcelaine…Pfff, on a beaucoup bu ? Un, deux, trois…cinq. Ouf, cinq bouteille y sont passé. Et bien, t’as une bonne descente frangin ! J’me demande quand même si on nous a quand même pas aidé…tiens, un fond d'bouteille, ça te dit un dernier verre ?


POINTS FORTS ▬ L’homme est un bagarreur né, et cela ne le gêne certainement pas de régler quelques différents à coups de poings, de pieds, ou avec un bon fusil bien chargé. Il ne craint pas la difficulté, et ne désespère jamais, s’encourageant intérieurement à chaque épreuve, et appréciant particulièrement les challenges ainsi que les défis qui le rendent au fur et à mesure, de déception, de défaite en victoire, plus fort mentalement. Son caractère chaud, fait qu’il demeure le premier impliqué dans bon nombre d’affaires, qu’il les aient demandées ou non, mais quoi qu’il en soit, il faut qu’il s’en mêle et dise ouvertement ce qu’il pense, qu’il y ait des conséquences ou non. La franchise est son principal état d’esprit, ainsi que cette obsession convaincante de vivre simplement, sans le côté superficiel du monde actuel. Edward dispose d’une rapidité d’action plutôt grandissante, et est capable de réagir au quart de tour, de prendre les bonnes décisions dans les moments les plus incongrus, il sait s’adapter, tout bêtement, se modeler. Bien qu’arborant en permanence une mine sérieuse et refrognée, il lui arrive de faire partager sa bonne humeur en blaguant avec ses proches, ou de simples inconnus – tout en évitant de rentrer dans le cynisme qui ne lui colle pas systématiquement à la peau, Edward est un homme fort blagueur, il aime manier l’humour à la façon d’une arme. Mais le point fort le plus important de cet homme en premier lieu, inabordable, est sans aucun doute sa seule fille. Amy lui confère une force incroyable, et le pousse à donner le meilleur de lui-même, juste pour elle. Son enfant constitue à la fois sa plus grande force…ainsi qu’une de ses plus profondes faiblesses.

POINTS FAIBLES ▬ Il n’est pas homme à exposer ses sentiments, ou encore ses faiblesses aussi facilement et à qui que ce soit. Edward, en homme fort, au caractère chaud, bouillonnant et impulsif préfère garder les difficultés qu’il puisse éprouver dans la vie de tous les jours pour lui-même, et d’en faire tout bonnement abstraction. Ce que l’on nie, ou ignore, ne peut pas forcément nous apporter le moindre mal. A vrai dire, le cow-boy n’est guère quelqu’un de faible d’esprit, qui se lamenterait sur son sort tel un dépressif durant des nuits entières, ou à se plaindre de sa condition. Loin de là. C’était un battant, un être qui n’abandonne pas, et que rien n’effraie, excepté une seule chose : sa chair et son sang, sa tendre fille bien aimée Amy Wood. Pour elle, le cow-boy agressif et sans foi ni loi se transforme en un agneau, une pauvre biche affolée et pouvant perdre tout contrôle, craignant pour la vie de la jeune fille. Il l’aime tellement, qu’il n’hésiterait pas une seule seconde à foncer dans le tas pour la protéger, ou encore, de se sacrifier pour la garder saine et sauve. Peu de gens connaissent son plus grand point faible, et fort heureusement, Edward préfère garder sa carapace bien en joue face à ses adversaires, et espérer que jamais l’un d’eux ne comprenne qu’en vérité, ce n’est pas lui qu’il faut toucher pour l’atteindre jusqu’au point de non retour.

APPARENCE ▬ Ce gars est un vrai cow-boy, autant d’un point de vue vestimentaire, que caractériel. Personne n’en douterait ! Edward Wood est un homme tout ce qu’il y a de plus normal, mais néanmoins guère au point d’en être banal. Il est plutôt grand, avoisine les un mètre soixante-quatorze, et sa carrure physique se trouve être bien marquée, musclée, carrée, on ne peut plus « baraquer » une fois ses habits enlevés. Son corps imberbe, dépourvu de la moindre pilosité, du moins, jusqu’au début de la ceinture, respire la virilité, le mâle, et également la simplicité. Quelques vilaines cicatrices ornent sa peau blanchâtre, mais doucement rosée, notamment à cause de « bagarres » qu’il aurait causées, ou aurait fait partie. Le détail le plus marquant concernant son anatomie, reste son pied droit, plus grand que l’autre, ce qui lui provoque quelques problèmes pour se chausser par moments. Ce n’est pas un homme à s’appliquer de quelconque crème sur le visage, ou le corps, absolument pas. Ses traits faciaux sont fins, le nez long et rebondit, les joues pleines, les yeux plutôt ovales, bien fournis de cils foncés, couleur marron, mais pourvu de quelques reflets noisette à la lumière. La forme de son visage est certainement la chose la plus attrayante, ce qui lui donne en partie son « caractère » ; ovale, parsemée de quelques traits dus à l’âge, ainsi que de la plupart du temps, d’une barbe naissante noirâtre, elle est un régale pour la gent féminine. Edward Wood, demeure un homme au caractère compliqué, mais au physique texan ravageur, qui plait beaucoup, et lui assure une certaine notoriété, de part le fait qu’on oublie rarement son visage, dont son sourire fin, amusé.



PROLOGUE


Moi, Edward, 40 balais, 1m74 et quelques kilos en trop. Edward Wood. Ouais ouais vous ne rêvez pas. Je me nomme bien comme le réalisateur qui a créé cette daube de…hum…bah en faite, ce gars il a pas réussi un film le pauvre homme. Heureusement pour moi, mon choix ne se tourna pas vers le septième art, sinon, j’aurais suivit le même chemin que ce pauv’ mec dont tout le monde connait son nom non pas par son excellent travail mais parce qu’il a fait le record du plus grand flop. Non, moi j’ai décidé de faire comme mon père. Mécanicien. Quoi ? Tu me cherches des noises ? Ce métier n’est pas assez classe pour toi ? Va donc voir ailleurs si j’y suis…
T'es encore là ? Ben alors, j'croyais que ma fiche n'était pas assez digne de ton intéret...Contente toi de lire et de la mettre en veilleuse !



CHAPTER ONE . THE BEGINNING


L’air est étouffant, les rayons du soleil se répercutent sur la carrosserie de la voiture, mais tout ceci ne sont que d‘insignifiants petits détails face à la joie que j‘éprouve à cet instant même. Aujourd’hui, Amy et moi vivons une nouvelle vie. Une vie sans son insupportable mère ! Je tourne le regard vers elle, lui souriant avec bonheur et en réponse, elle me sourit également. Tout compte fait, ces jours qui avait pourtant mal commencé, me laisse penser qu’aujourd’hui sera une bonne journée. Oui, le deux Janvier est à marqué d’une pierre blanche. J’ouvre la fenêtre en grand du Pick up et monte le son du poste neuf de la radio.


- So how could I dance with another oooooh

P’pa !

- Quoi ?


Elle n’aime pas les Beatles, elle aime cette musique de taré qu‘écoutent les jeunes de nos jours. Ah ils ne savent pas ce qu’ils ont pu raté. Je jette un coup d’œil dans sa direction. Son visage est renfrogné, elle semble bouder. Nouveau coup d’œil, son regard semble vouloir me dire « regarde la route et fais pas chié ! ». A cette réflexion, je ne peux m’empêcher de pouffer, ce qui la fait sourire. Bien, au moins, je suis fixé sur l’humeur lunatique de ma fille. Elle a le même caractère que sa mère et la même répartie que moi. Un mélange explosif si vous voulez mon avis. Vous le voulez pas ? Je m’en fous !
Tiens, les chtars…qu’est-ce qu’ils peuvent bien foutre ici ? Et ils sont venu avec plusieurs de leurs potes. Bizarre…
Je reporte mon attention sur la gosse qui a ses écouteurs dans les oreilles. En clair, j’la fais chié avec ma musique de vieux. Soupirant, je baisse le son et me concentre sur la route qui défile trop lentement à mon gout. J’aimerais bien appuyer sur la pédale d’accélération mais, il y a beaucoup trop de flic pour que je puisse commettre une infraction au code de la route. Tant pis, nous mettrons donc le temps qu’il faudra pour arriver à la frontière du Bronx.

Les minutes filent, les heures passent et bientôt, nous dépassons le panneau indiquant que nous sommes à présent dans le Bronx. Soudain, mon ventre se serre à l’idée que nous venions de quitter le Texas et que ma contrée allait me manqué à un point dont je n’imaginais pas encore l’étendu. Immobilisant le véhicule près de Sackett avenue, je descends et ferme la portière pour me tourner vers ma fille, toujours brancher sur la fréquence Gaga.


- J’te prends quelque chose au Starbucks ?

Nan, j’ai pas trop envie d’avaler quelque chose là…

- Comme tu veux…


Je pose mes lunettes sur mon nez et traverse l’avenue pour finir par entrer dans la pièce où, bizarrement, il n’y a pas âme qui vive. Cette impression m’est étrange. Alors, je jette un coup d’œil sur la porte d’entré qui pourtant, affiche que le bar est bel et bien ouvert, puis sur ma montre. Haussant les épaules, je disparais un court instant aux toilettes puis retourne à la voiture.


- C’est bizarre, Starbucks était ouvert mais…il y avait personne à l’intérieur…

Hum…


Bon visiblement, son cota de mots est au plus haut. Pas la peine d’insisté, cela n’amènerait la conversation qu’au conflit. Va falloir s’y habitué après tout. Les trente minutes qui suivirent se firent dans un silence religieux et c’est trente minutes plus tard que je le rompis le premier.


- Bon sang c’est quoi c’bordel !



CHAPTER TWO . MAD WORLD


« Bon sang c’est quoi c’bordel ! »


Aussitôt ces mots prononcés, je donne un violent coup de volant sur la droite pour éviter la chose monstrueuse qui a surgit brusquement devant la bagnole. Celle-ci devient incontrôlable et la seule chose qui me reste à faire, c’est veiller sur ma peau et sur celle de ma gamine. A peine ai-je eu le temps d’y pensé que la voiture se met à faire plusieurs tonneaux pour enfin, s’immobilisé. Tout autour de moi est soudainement flou et les échos que je perçois semble lointain.


- A…Amy…


Est-ce bien elle qui crie ainsi ? Il faut à tout prix que j’ouvre les yeux, que je m’assure que tout va bien pour elle, qu’elle n’est pas blessé. Mais ma vue est brouillé et le sang qui coule n’arrange pas les choses. Dans un ultime effort, j’ouvre un œil difficilement, puis l’autre. Ah putain, ce sang dans ma bouche me donne envie de rendre le peu que j’ai pu ingurgiter aujourd’hui. Il y a quelque chose qui ne va pas, je le sens, je le sens au plus profond de moi-même. Seulement, cette apparaissions soudaine ne peut être vraie, ces choses ne peuvent exister quand dans les films ou dans la tête de ce vieux fou de Stephen King. Mes yeux risquent à nouveau de se fermer mais, soudain, je réalise qu’Amy n’est plus dans la voiture. Elle ne peut pas avoir filé en me laissant crever comme un chien dans cette caisse, cela ne peut être possible. Nos relations ont beau être par moment tendu, je sais que pour rien au monde elle serait digne d’une telle cruauté. Vainement, je tente de déboucler ma ceinture mais avec la tête à l’envers, ce geste pourtant si habituel, me parait être à présent un exploit. A nouveau, ces cris…


- AMY !


Mon sang ne fait qu’un tour et savoir que la vie de mon enfant est peut être en ce moment même en danger me donne la force nécessaire pour me dégager de cette ceinture à la con qui m’entrave le torse. Brutalement, je retombe sur le toit du Pick up et me cogne lourdement la tête, m’assommant un peu plus. Cette fois, je suis moins lent à réagir. J’ai perdu que trop de temps avec toutes ces conneries ! Je rampe vers la fenêtre pour me sortir de la bagnole qui dégage une odeur forte inquiétante quand, à nouveau, cette vision d’horreur surgit devant l’une des seules issue. Poussant un cri de peur, je me recule brutalement vers l’autre fenêtre et met le plus distance entre cette chose et moi. Je suis un homme, mais ce qui est en train de me sourire ne l’est plus et dans ces moments là, je suis capable d’éprouver ce sentiment que tout être humain normalement constitué est sensé avoir dans pareil situation. La terreur. Oui, c’est bien la terreur qui me cloue sur le toit de ma voiture retourné et m‘empêche de réfléchir correctement, mes pensées toutes tournés vers ce visage puant la mort jusque là. Avec une force incroyable, cette chose pète la vitre en face de moi et le bruit ne tarde pas à se répété, mais cette fois-ci dans mon dos. Des bras, des bras couvert de plaies, viennent entouré ma gorge alors qu’une de ces créatures passe la tête par le fenêtre pour mordre avec bestialité ma gorge ainsi offerte tout en me tirant hors de la voiture pour, je pense, mieux savouré son repas. De ma main droite, je tente de récupéré le flingue que j’ai rangé dans ma boite à gant mais, l’étau se resserre et m’empêche de respirer. J’abandonne toute recherche et plante mes ongles dans la chair de ce damné tandis que les doigts de ma main gauche rencontre la batte de baseball. L’enserrant avec fébrilité, m’accrochant avec indécence à la vie, je me laisse finalement sortir de la bagnole et une fois sur le bitume, je profite que le mort vivant soit occupé à vouloir me becter pour lui foutre un bon coup de batte dans le crane. Touché. La chose crie, le sang gicle, mais je ne m’attarde pas sur elle pour savoir si elle va bien. Non, je me relève et profite de sa faiblesse pour m’emparer de mon arme à deux mains et utiliser toute ma force pour lui exploser la gueule sur le béton. La tête du mort vivant vole au loin. En temps normal, je me serais félicité pour cet exploit mais, mais mon temps et celui d’Amy nous est à présent compté. Je lève les yeux du sol, regarde autour de moi et par chance, je vois l’attaque venir.


- Dégage, salope !


Cri de rage et de souffrance de la part de mon adversaire mais, une fois encore, je ne lui laisse pas le temps de riposter que déjà, son corps vient s’échoué à mes pieds. Tout autour de moi n’est plus que désert et ruine. Amy a disparu. Beaucoup trop de temps, j’ai mis beaucoup trop de temps à réagir. Lâchant la batte de baseball sur le sol, je m’écroule sur le bétume, mes jambes se dérobant d’une façon déconcertante, et fait une chose que je ne m’étais pas permis de faire depuis de nombreuses années. Je pleure.



CHAPTER THREE .
UNE DERNIÈRE POUR LA ROUTE


Date: 5 Janvier 2011. Heure: 3h et 51 min. Lieu : Dans un vieux grenier, je ne sais pas où dans central Park. Jours ayant survécu à cette bande de monstre: 3


Ces merdes sont partout et je n‘ose plus sortir de peur de tomber sur l‘un d‘entre « eux ». Je ne dors pas beaucoup. Alors, pour passé le temps, j’écris mon « Requiem ». J’espère que le mien ne sera pas aussi dramatique et inachevé que celui de Mozart mais, j’en doute fortement. Mes jours sont compté à présent. La nourriture est dur à trouvé et la seule chose comestible que j’ai pu voler est de la viande. Cela aurait pu être parfait, hélas, je ne peux pas la faire cuir, le feu les attires, j’en ai eu la mauvaise expérience après l’accident. La faim commence à se faire ressentir.

J’ai l’impression d’être retomber en enfance. La peur du noir est revenue bien malgré moi. Tous mes muscles se tendent à chaque bruit suspect. J’ai peur d’ouvrir les yeux et j’ai peur de les fermer. Je ne suis pas encore prêt, pas encore prêt à m’habituer à tout ce qui est en train de se produire et je ne suis prêt à m’y habitué. J’aimerais que tout soit un cauchemar, j’aimerais me réveiller et découvrir Amy à mes côtés, j’aimerais ne jamais avoir quitté le Texas…




Date: 11 Janvier 2011. Heure: 15h et 25 min. Lieu: Dans la cave d‘un immeuble en ruine. Jours ayant survécu à cette bande de monstre: 9


Neuf jours! C’est une aubaine que je sois encore en vie à cet instant précis. A cet instant précis où je pose ses mots tels qu’ils viennent sur ce cahier abîmé.
J’ai finalement déniché quelques provisions. Bien maigre, hélas, mais de quoi me nourrir durant deux ou trois jours. Enfin, si je tiens jusqu’à là. Ouais, je pars toujours perdant depuis ce drame mais voila, je me suis résolu à ne pas me faire trop d’illusions. Depuis le cinq Janvier, j’ai eu le droit à deux ou trois visite de courtoisie de ce cher hôte défraichis. Le lendemain de l’accident, j’avais réussi à me procurer une arme et cela me rassure de savoir que ce flingue est ma seule véritable protection contre ces monstres. Je n’ai pourtant pas abandonné ma vieille amie, cette batte de baseball, encore couverte du sang de mes ennemis. Mais c’est étrange, j’ai la désagréable impression qu’ils savent exactement où je suis, où je vais, qu’importe l’endroit où je me trouve. «  Ils » sont bien plus coria…





Date: 16 Janvier 2011. Heure: 00h et 03 min. Lieu: Egouts. Jours ayant survécu à cette bande de monstre: 14


J’ai dû abandonné cette arme…elle m’apportait bien plus d’ennuis qu’autre chose. Il semblerait qu’’« ils » soient attiré par les armes à feu car, depuis quelques jours, je n’ai plus de visite de mes « amis ». C’est con, je commence à les apprécier ces merdes ambulantes.
L’endroit où je me trouve aujourd’hui n’est pas un trois étoile mais…non, en fait, cet endroit ne me rassure pas du tout. L’odeur et l’obscurité me rende malade. Pourtant, le souvenir d’Amy m’aide à tenir le coup. Si aujourd’hui, je vis encore, si aujourd’hui, je me bat pour rester parmis les « vivants », c’est pour elle et rien que pour elle. Je sais qu’elle est encore en vie, je le sens au plus profond de moi.




Date: 22 Janvier 2011. Heure: 08h et 10 min. Lieu: Egouts. Jours ayant survécu à cette bande de monstre: 20


Mes textes sont de plus en plus court et le temps que je prends pour ouvrir mon cahier est de plus en plus long. La bonne nouvelle, c’est qu’hier, j’ai trouvé un paquet de clope dans le caniveau. Piètre lot de consolation quand les gens qui sont dans la même situation que moi vivent ce que je suis en train de vivre. Et pourtant, ce sont de petit plaisirs qui remonte le moral pour la journée.
Adossé au mur, j’écris ces quelques lignes pour éviter de penser à autre chose qu’a ma fille, seule, dans ce monde de dingue. La peur que je ressentais si intensément il y a un peu moins de deux semaines à laissé place à l’angoisse qu’il lui soit arrivé quelque chose. Je ne dis pas que la peur à disparu, non, elle est toujours bien présente, seulement moins présente.

Demain, je sortirais à nouveau de mon abri pour me trouver des fringues. Je fais peine à voir avec ces loques que je me traines depuis mon accident. Je rédigerais également une liste de ce qu’il me faut…

Je désespère de trouver des gens normaux. Il semblerait que le monde tel que je le connaissais à bel et bien changé et qu’il court à sa perte. Les temps qui suivront après ce post-apocalypse semblent sombre et ne finiront pas de me surprendre jour après jours.



- Clopes [ important ] ( ok )
- Sous vêtements [ encore plus important ] ( ok )
- Jeans & tee shirts [ ça devient critique là ] ( ok )
- Chaussures ( ok )
- Nourritures [ Pas que je souhaite rallonger ma vie dans ce bas monde mais si je veux retrouver Amy et combattre ces choses immonde qui nous traque, il va me falloir reprendre des forces ] ( ok )
- Lampe torche, pile…[ au cas où ] ( ok )
- Sac à dos ( ok )
- Bâton de dynamite [ pas sûr de trouver mais peut être qu’avec un peu de chance…] ( ok )





Date: 29 Janvier 2011. Heure: 23h et 16 min. Lieu: Maison abandonné. Jours ayant survécu à cette bande de monstre: 27


Je suis sortit de mon trou à rat à neuf heures du mat’. Il me fallait profiter de la lumière du jour pour pouvoir mieux progresser en ville et récupérer ce qu’il me fallait dans divers boutiques avant que la nuit tombe. Je venais de sortir d’un magasin de fringue, sac sur le dos, quand je « les » vis…




28 Janvier, 2011. Central Park.


Encore et toujours eux! C’est drôle, cela m’avait manqué de ne plus voir leurs têtes monstrueuses. A croire que je me suis habitué à leurs présence ? Non, il y a rien à faire et sans vouloir être désagréable envers « eux », on ne peut définitivement pas être habituer à…ça. Mes gestes se répète, ça en devient lassant. Avec un soupire lasse, j’attrape Joséphine, fidèle batte de Baseball, coincé entre mon dos et le sac et la tend droit devant moi.


- Tu la reconnais j’espère ?

- Bouarh

- Ouais, j’te l’fait pas dire mon vieux. C’est Joséphine qui a tué ton pote Mardi dernier…tu veux peut être tâter de son bois cent pour cent en pin peut être ?

- Bouarrrrh

- T’as pas autre chose à dire, tu deviens chiant là. Non sans déc’, ça fait trois semaine que j’ai pas eu de conversation avec quelqu’un qui ne soit ni une batte de baseball, ni une mouche ou encore un arbre. Si ça continue, j’vais finir comme Tom Hanks dans «  Seul au monde » et le pire dans tout ça, c'est que mes blagues ne sont même plus drôle !

- Bouarrrg !

- Okey…


Le truc ne semble pas apprécier que je puisse lui manquer de respect. Il s’élance et jette la gueule la première vers moi. Mauvais choix, il le constate bien après, l’arcade sourcilière défoncé et pissant le sang. Mais il est coriace. Il se relève et me surprend par sa vivacité. Recevant un coup en plein dans la mâchoire, je flanche et tombe à terre, ma batte glissant loin derrière moi. E.T profite de cette faiblesse pour attaquer à nouveau mais un bout de talon dans la gueule l’en dissuade de recommencer. Je profite de l’occasion qui met offert pour attraper mon sac à dos, de l’ouvrir et d’attraper l’un des bâtons de dynamite que j’ai trouvé près d’un chart abandonné de l’armé pour l’allumer fébrilement à l’aide d’un briquet et de le fourré dans la bouche du zombie, après mettre relever. Je lui enfonce bien dans la gorge et me barre à toutes jambes pour mettre un minimum de distance entre la bombe humaine et moi. Celle-ci explose quelques minutes plus tard et je m’approche pour voir le résultat de mon œuvre. Pas mal. Dans la précipitation, j’ai fais tomber mon briquet dans les égouts. Cela me fait tellement ragé que je shoot dans le reste du cadavre.


- Ah on rigole moins charogne !


Jetant un coup d'œil sur le cadavre étalé à mes pieds, rependant une odeur nauséabonde, je vais m'asseoir plus loin pour me fumer une clope avec nonchalance. Est ce qu'on peut appeler cette merde, éparpiller sur le bitume, cadavre ? Vraisemblablement, non.


- T'as pas du feu par hasard ?

- ...

- Hum...je m'en serais douté...





Test Rôle-Play
Ecrivez ici votre test, nous souhaitons que celui-ci ce déroule le jour de l'épidémie : Où étiez-vous ? Comment avez-vous survécu ? Vous avez été mordu, ignorez-vous pour le moment que la blessure ne vous affectera pas comme tout le monde ? 20 lignes minimum.


Et vous ?

Pseudonyme ou prénom du joueur ▬ SO.BRITISH alias Mel ( ou Choue xP )
Présence sur le forum ▬ 5 / 7
Commentaire ▬ Pouet !
Comment as-tu connu ce forum ? ▬ Swan m'a trainé jusqu'à ici...
Code règlement ▬ Code Ok par Swan
© Fiche de présentation codée par Fanchon, via SOS FORUM RPG


Dernière édition par Edward J. Wood le Sam 4 Fév - 3:57, édité 26 fois
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CHHOOUUUEE ! * Coup de boule de bienvenue façon Aid'* Ouais, t'es coincée maintenant! Bonne chance pour ta fiche, y me fait déjà marrer ce perso ... Razz
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MessageSujet: Re: EDWARD WOOD ♦ maintenant, je sais que c'est la fin... EDWARD WOOD ♦ maintenant, je sais que c'est la fin... EmptyMer 23 Nov - 19:29

Razz

Merci beaucoup pour la bienvenue Moony

Hey mais je peux être sérieux, d'ailleurs, J'SUIS SÉRIEUX !!
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MessageSujet: Re: EDWARD WOOD ♦ maintenant, je sais que c'est la fin... EDWARD WOOD ♦ maintenant, je sais que c'est la fin... EmptyMer 23 Nov - 20:03

Autant qu'Aidrian est Crédible ? Razz
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MessageSujet: Re: EDWARD WOOD ♦ maintenant, je sais que c'est la fin... EDWARD WOOD ♦ maintenant, je sais que c'est la fin... EmptyDim 1 Jan - 11:14

Terminé ( ouais, enfin )
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MessageSujet: Re: EDWARD WOOD ♦ maintenant, je sais que c'est la fin... EDWARD WOOD ♦ maintenant, je sais que c'est la fin... EmptyLun 2 Jan - 9:43


“ BIENVENUE SUR AOM„

Je t’accompagne à présent pour la modération de ta fiche .


Bahh tu pues des fesses ! C'est d'un moche ! C'est quoi ce type, c'te glandue du fion là ? Hein ? NON MAIS VRAIMENT !
( Rhhaaaaaa j'peux pas ! Non j'adore ! =D Cool, bonne musique, jolie présentation, jolie fiche et tout ! )




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Nous avons l'honneur de te dire que tu es validé(e) ! Prends t'es armes et charge ton flingue ! Ça va swinguer dans la baraque ! N'hésite pas à venir poser des questions si besoin aux administrateurs et modérateurs. Vise le crâne, surtout ne te fais jamais mordre et, si tu es perdu(e) sur t'es origines, n'oublie pas de lire la fiche des espèces ! Il est temps d'aller faire tes fiches de liens et de Rp, et pourquoi pas demander un logement ? Profites bien, tu ne seras pas éternellement dedans ! Pour toutes annonces du forum, absences des membres et questions, c'estici! Veille au respect du règlement ! Bon jeu sur Army of me !
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Edward J. Wood
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MessageSujet: Re: EDWARD WOOD ♦ maintenant, je sais que c'est la fin... EDWARD WOOD ♦ maintenant, je sais que c'est la fin... EmptyMar 3 Jan - 11:57

MOI J'ADORE TROP TA SIGN !!! ELLE CLAQUE SA GRAND MERE
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Aidrian E. Calagan
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MessageSujet: Re: EDWARD WOOD ♦ maintenant, je sais que c'est la fin... EDWARD WOOD ♦ maintenant, je sais que c'est la fin... EmptyMar 3 Jan - 18:53

OUAIS T'AS VUE ?! ** LA TIENNE AUSSI !
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