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Run little rabbit, run... || PV Adrianchou

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Adèle A. Porter
Adèle A. Porter
MODO ♠ Petit Ange de glace
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Age du joueur : 31
Lieu de naissance : Austin, Texas.

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MessageSujet: Run little rabbit, run... || PV Adrianchou Run little rabbit, run... || PV Adrianchou  EmptySam 24 Déc - 13:08

Run little rabbit, run... || PV Adrianchou  Tumblr_lt89cj9mni1qa2szuo1_500

    Des rêves encore et toujours pour ne pas dire des cauchemars qui hantaient toutes les nuits l'esprit de la pauvre Adèle qui en devenait insomniaque. La peur, voilà ce qu'il régit la population à l'heure actuelle ou devrais-je dire les survivants. La vie ne lui avait pas fait de cadeau même si tout avait bien commencer. Si on lui aurait dit qu'un jour elle perdrait son fiancé, qu'elle sera gravement blesser, puis torturer : elle ne l'aurait pas cru. En un instant la vie vous prouve que c'est une belle ordure qui fais ce qu'elle veut ! Les humains sont des pions qu'elle manie à son plus grand plaisir. C'est terrible de se dire que la vie est régit par le destin ou plutôt par la hasard. Adèle était là au mauvais endroit au mauvais moment et paff elle se retrouve le crâne rase : la tête dans une bassine d'eau froide et j'en passe. Que fallait-il faire pour avoir les bonnes grâces de la vie ? Si ce serait un homme : contenter ses désirs ou bien ses rêves les plus fous ; si ce serait une femme : lui offrir des bijoux, des chaussures en outre des choses matériels ; si ce n'était aucun des deux ? Prier tout les dieux qui existent pour avoir sa miséricorde.

    L'agent du FBI -car oui cela voulait encore signifier quelque chose dans ce monde détruit en proie au zombie et à la terreur- était allongée. Depuis que son frère était venu la sauver de la patte griffue de la mort, elle préférait être seule pour ne pas être un danger. Ses crises de paranoïa la rendait instable même si elle ne l'avouerait jamais. Adèle n'était que l'ombre d'elle-même. Son frère l'avait très bien comprit et avait pris ses distances même s'il la surveillait toujours d'un œil : après tout il était son jumeau et il savait plus ou moins quand sa sœur avait un problème. L'union faisait la force mais parfois ils préféraient être seuls. Adèle s'était endormie en hauteur, enfin endormie est un bien grand mot, elle somnolait plutôt. Elle se réveillait au moindre bruit pour se mettre en position, les couteaux dans ses mains prêt à les envoyer dans la tête des zombies. Néanmoins elle avait aussi un pistolet sur elle sans oublier une corde très fine qu'on appelait dans son pays un lasso. D'ordinaire elle avait aussi un arc mais était encore en apprentissage : le faite que les armes à feu attire l'ennemi à dût obliger Adèle à changer de méthode pour les tuer.
    Au petit matin, la rue était calme à croire que les sol : elle ressortit ses couteaux et fit un tour d'horizon : ils étaient un peu comme des vélociraptors ces s*****s ! On en avait un en ligne de mire et les autres attaquaient sur les côtés : toujours en bande. Un zombie seul était sois un zombie qui venait de naître ou bien une erreur. Adèle devrait bientôt rejoindre le secteur n°2 pour protéger les gens du gouvernement et ainsi relever les hommes déjà en place. Les forces de polices travaillaient en collaboration avec les militaires bien que ces derniers fassent une nette différence entre les gens de leur « espèce » et les autres. Ils étaient trop arrogants aux yeux d'Adèle ce qui avait le don de l'énerver. C'est sûrement pour ça qu'elle relevait toujours les défis des hommes en kaki surtout concernant le tir.
    Adèle se mit donc en route pour le secteur n°2 en marchant d'un pas rapide pour ne pas rester trop longtemps à découvert. Soudain elle entendit des plaintes dans un immeuble, un appel au secours. Ne supportant pas de savoir des gens dans le besoin et en danger, elle prit son courage à deux mains en ravalant sa peur pour courir vers le son :

    « Il y à quelqu'un ?
    -Oui... Arrrgg ! Je suis là. »

    Adèle sortit sa lampe torche et éclairait chaque recoin : longeant les murs pour ne pas être prise par surprise dans le dos. Elle trouva un homme salement amoché mais aucune trace de morsure. Il avait plutôt été tabassé par la main de l'homme. Adèle le tira, non sans lui arracher un cri dans un coin pour une fois de plus ne pas être prise par surprise.

    « Taisez-vous !
    -J'ai mal... Je vais mourir ?
    -Si vous ne la fermez pas oui ! »

    Adèle arracha le t-shirt de l'homme et vit de nombreuses équimoses mais aussi des entailles faites sûrement au couteau. Néanmoins il saignait et ce n'était pas bon signe du tout. Le sang à une odeur particulière : pas pour les humains mais pour les zombies oui !

    « Non ça va aller mais vous devez voir un médecin. Je vous emmène dans le secteur 2.
    -Vous n'êtes... Vous n'êtes qu'une femme. »


    Blessée dans son orgueil de femme, elle prit un morceau de son t-shirt pour lui mettre dans la bouche avant de le porter en sac à patate. En l'entendant gémir, elle était contente d'avoir prévu le coup : les cris étant bloqués par le morceau de tissus. Tandis qu'elle sortait du bâtiment avec l'homme sur ses épaules, des gémissements beaucoup plus rauques commencèrent à se faire entendre. Sans plus attendre Adèle courut même si l'homme sur son dos était gringalet : il pesait son poids ! Le policier savait qu'elle ne devait pas se retourner : c'était une perte de temps et pas besoin d'être divin pour savoir qu'elle était poursuivie par ces morceaux de viande sur pattes !
    Au loin elle vit un groupe d'individus et pria pour que cela ne soit pas des zombies : pas de bol ils se faisaient une tea party ! Elle dût donc quitter la route principale pour pouvoir avoir une chance d'échapper aux vilaines bébêtes mais il était de plus en plus évident qu'elle allait devoir abandonner l'homme sain pour sauver sa vie. Elle n'en pouvait plus, elle qui avait une bonne condition d'habitude était essoufflée. Épuisée, elle trébucha sur une pierre et se blessa au genou. Elle se releva rapidement mais n'arrivait plus à soulever l'homme qui pleurait de douleur ou de peur ? Adèle ne savait pas mais elle ne devait pas laisser la panique l'envahir.

    « Aidez-moi ! »


    Son dernier recours était d'appeler à l'aide pour avoir une chance de s'en sortir avec ou sans le blessé. Elle avait entendu parler d'un groupe de survivants qui rôdaient dans le coin ; elle espérait que cette légende urbaine soit vraie.
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Aidrian E. Calagan
Aidrian E. Calagan
FONDA ♛ WAZAAAA !
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MessageSujet: Re: Run little rabbit, run... || PV Adrianchou Run little rabbit, run... || PV Adrianchou  EmptyMer 11 Jan - 20:18

Run little rabbit, run... || PV Adrianchou  Tumblr_lu8v37OgZ81qlv12zo3_r2_250Run little rabbit, run... || PV Adrianchou  Tumblr_lu8v37OgZ81qlv12zo4_r3_250

Ville de merde. Pays de merde. Epoque de merde. Positive attitude… Les remparts de la ville, l'immense brume qui ressemblait dans ses rêves les plus fous – oui, il en avait acquis un peu plus encore depuis tout ce beau bordel – aux barbes à papa qu'il réclamait à ses parents quand il était petit. Sauf que celles-là étaient faites du rose innocent de l'enfance, la couleur qu'il disait pour les filles, même s'il y baignait avec bonheur. Ces barres à papa là, ces nuages noirs n'avaient rien d'heureux, rien d’appétissant. Il c'était replié sur lui-même sur ce toit plat qui lui servait de bulle, où il imaginait que tout irait mieux et qu'il y avait de l'espoir. Que cette apocalypse que l'on scandait, imaginait à tout bout de champs était irréaliste. Puis, Aidrian redescendait ces marches confinées entre des murs sombres et morbides, que des hommes et des femmes affolés avaient frôlés de leurs mains tremblantes. Il les redescendait comme on redescend d'un coup sur terre. Puis, il retrouvait en enfer la seule bonne âme encore capable de l'apaiser. Isabella. Elle s'occupait dans son coin, sûrement pour ne pas devenir folle, ils essayaient tous deux de ne pas perdre la raison, mais cela était bien compliqué. « Y a plus de boites de conserves dans ce putain de bordel ! ». Et ses sautes d'humeurs n'arrangeaient rien du tout. Son pied frappait machinalement dans une boite vide tandis qu'il errait comme un mort dans ce nouvel abri. Depuis qu'il avait rencontré Charlie et retrouvé Bella, il se disait que les choses iraient peut-être mieux. Mais c'était là un bien faible espoir. Aidrian restait impulsif, fougueux et vorace. Etat qui lui refilait de gros doutes sur sa condition, il passait parfois un temps fou à contempler sa peau sale pour vérifier qu'il n'avait pas été griffé ou contaminé par l'un d'eux. Et qu'est-ce qui était le mieux, ou le pire ? Découvrir avec soulagement qu'il n'avait rien était en partie une bonne chose. Ne pas comprendre ce qui le rongeait de l'intérieur en été une autre.

De plus, encore une fois, les vivres manquaient cruellement. Aidrian était un soir de pluie à nouveau perché sur les toits, un petit rituel qui devenait une drôle d'habitude. Le brun ressemblait à un aigle sauvage attendant sa proie du haut de son royaume. En vérité, il n'était qu'une des nombreuses proies qui s'acharnait pour survivre, un simple mec qui voulait vivre une vie à peut-près normal. Décrocher la meilleure place d’Architect de la ville après des années de durs labeurs. Dire qu'il avait enfin décidé d'être un peu plus sage et qui sait, de trouver une fille et vivre une relation sérieuse, avec un lendemain. Fallait croire que c'était pas fait pour lui. Les gens continueraient de le prendre pour un drôle de type fringué comme un punk. Enfin, les survivants qu'il croiserait peut-être, s'il en rester. « Taisez-vous ! ». Le petit sauvageons tend l'oreille alors que la pluie battante lui lave le visage, reniflant presque l'air dans un élan de bestialité sans pareille. Il penche la tête, écoute la pluie et le vent. Les râles répondent à son oreille, des bruit de pieds qui traînent sur le sol et …« Aidez-moi ! ». Le brun réagit aussitôt et évalue la distance entre le toit où il est perché et le sol. Une bonne quinzaine de mètre, il n'est après-tout que sur un immeuble de Marshall de quartier. Sauf que c'est bien trop haut. Aidrian n'a jamais été à l'aise les pieds dans le vide, il était toujours attiré par le sol et ce depuis son enfance, victime d'étranges vertiges. Tant que ses pieds touchent une masse …

Mais les bruits de courses ralentissent, la femme qu'il entend et dans une sale position et il jurerait avoir entendue quelqu'un d'autre avec elle. Un bruit de respiration brutale. Sans attendre, il bondit du toit pour écraser avec souplesse et surprise ses pieds intacts. Pas de douleurs, juste une sensation grisante et excitante de … Puissance. C'est avec délectation qu'il attrape un barreau de fer quelques mètres plus loin, tordant le bout pour un en faire un crochet parfait. Il réalise alors après que d'ici, il ne peut vraiment définir l'emplacement de la jeune femme qu'il a entendue. Il tend l'oreille gauche, fermant les yeux avant de sursauter et d’abattre sa barre dans le crâne d'une femme aux cheveux gris et à la mâchoire brisée. Non, pas une femme, un chose, un monstre ! Les contaminés n'ont pas besoin de pitié. Il voudrait crier, faire comprendre à cette fille qu'il est là qu'il va venir lui filer un coup de main mais, il attirerait plus de zombies qu'autre chose en risquant la vie de tout le monde. Hésitant, il se tournait vers le poste de Marshall en jurant entre ses dents. Bella était en sécurité à l'intérieur. C'était donc avec cette idée qu'il piquait un sprint entre les immeubles défoncés, s'arrêtant de temps à autre entre des poteaux de bétons, vérifiant qu'aucun d'entre eux n'est dans le coin. Deux minutes seulement lui suffirent pour retrouver la trace de celle qui criait à l'aide, une femme amaigrie, au crâne rasé, tenait un type derrière elle tel un sac de patate. Un cercle vicieux, elle cherchait à sauver un type et demandait maintenant de l'aide en retour. «  Gaaaakk ! ». Le dévastateur prend une longue respiration avant de courir, bout de fer tendu droit vers un nouveau mort qui se dirigeait vers elle. La barre écrasant dans un bruit écœurant, brisant le crâne du mort avec force. C'était dans un jet de sang coagulé dès qu'il la retirait, secouant celle-ci avant de la jeter à terre et de courir en direction de la femme poursuivie par une horde. De son index il lui intimait le silence, plongeant ses yeux d'un bleu profond dans ses deux prunelles marron. S'en prévenir, il prenait l'autre gars qui poussait des cris indignés étouffés par un morceau de tissu. Haussant un sourcil, le jeune homme se disait qu'il n'était pas temps de cherche à comprendre et se contente d'indiquer un bâtiment de textile droit devant eux. «  On file là-dedans, dépêche-toi je te couvre. » Ne s'empressant pas des formalités telles que cette familiarité précoce, il lui intimait sans la moindre hésitation de suivre ses ordres. Son regard soudain brillant d'une lueur déterminée, il la pousse légèrement pour qu'elle s'active en se tournant pour évaluer la distance entre eux et les morts, tout en soulevant comme une plume le type qui gigote en gémissant. «  La ferme ! ». Défoncer la porte à coup de pied briserait la serrure et compliquerait la tâche, c'est pourquoi il prend pour une fois le temps de vérifier qu'elle n'est pas verrouillée et fonce ensuite à l'intérieur, jetant le gars à terre avant de se jeter sur la porte. «  AIDEZ-MOI A BLOQUER LA PORTE ! ». Plusieurs d'entre eux étaient déjà là, se jetant, grognant, frappant la vitre avec force. «  Vous m'avez pété la jambe ! ». Les gémissements plaintifs du type l'agacent, alors qu'il est en train de risquer sa vie, de risquer de reperdre Isabella pour de parfaits inconnus. Il pousse un peu plus la porte d'un coup sec, faisant reculer quelques secondes les zombies. «  VOUS VOULEZ QU'ILS VOUS LA BOUFFENT, LA JAMBE ? ».
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MessageSujet: Re: Run little rabbit, run... || PV Adrianchou Run little rabbit, run... || PV Adrianchou  EmptyJeu 12 Jan - 22:23

    Et m**** elle allait crevé de façon idiote en voulant sauver un mec qui n'en valait sûrement pas la peine, alors pourquoi l'avait-elle prit sur son épaule ? Peut-être pour sa conscience : il y avait déjà trop de mort, de contaminés dans cette p**** de ville ! La pluie ne tarda pas à faire son entrée : géniale il ne manquait plus que ça ! Continuant de tirer même si ses muscles la faisait souffrir ne pouvant plus le porter ! Soudain, tel un ange de la mort, une ombre tua un zombie en lui explosant la cervelle qui alla sur le pauvre homme : un peu plus et il se faisait bouffer tout cru ! Profitant de cette aubaine, elle tira de toute ses forces le pauvre homme quand soudain un regard bleu se plongea dans le sien. C'était l'ange qui l'avait sauver. Il était évident qu'ils ne devaient plus faire de bruit mais avec l'autre tâche qui est blessé ce n'était pas facile ! Adèle n'avait pas d'autre choix que de hocher sa tête pour approuver ne refusant jamais de l'aide, néanmoins il allait falloir qu'on lui explique comment il arrivait à porter l'homme comme un plume ? Tout s'enchaînait sans soucis, Adèle n'attendit pas que l'homme lui ordonne de bloquer la porte, elle devança ses ordres et de mit à ses côtés bien qu'au fond elle était inutile puisqu'il faisait tout le travail. Un rapide coup d'œil dans la pièce lui fit comprendre qu'ils étaient dans un joli cul de sac. L'homme qui les avait sauver avait balancer celui qui était blessé, ce dernier avait dût perdre le bâillon qui retenait ses cris à son plus grands désespoirs. Une armoire près de la porte, Adèle se dépêcha de quitter la porte pour la pousser de toutes ses forces vers la porte. L'armoire bougeait au début lentement puis rapidement pour finalement se positionner sur la porte. Adèle souffla et regarda l'humain aux yeux bleus :

    « Merci, merci du fond du coeur. »


    Elle fit un sourire franc : depuis le temps qu'elle cherchait une occasion de le sortir celui-la ! C'était la première fois qu'Adèle demandait de l'aide depuis que les zombies avaient fait leur apparition. En tout cas l'aide est très agréable à regarder, il l'est plus qu'elle tout du moins avec ses cheveux qui commençaient à peine à repousser et son teint maladif à cause du manque de sommeil :

    « J'ai mal ! »

    Adèle se dirigea vers le mec et arracha un nouveau morceau de son t-shirt pour le bâillonner de nouveau :

    « On t'a dit de la fermer ! »


    Sa gentillesse la perdra ! Son sac à dos ne la quittant jamais, elle avait toujours un nécessaire pour soigner les plaies et surtout de la morphine qu'elle injecta au pauvre homme qui pleurai de douleur et peut-être aussi de peur. Adèle avait un calme olympien. Une fois le patient calmé, elle se tourna pas vers l'étranger qui l'avait sauvé :

    « En tout cas chapeau bas pour tout à l'heure. Tu m'expliques comment tu as porté ce mec sur ton épaule comme si ce n'était qu'un sac à dos vide ? »


    Finalement elle leva la tête avant de montrer le trou :

    « C'est le seul moyen de sortir de ce piège, tu me fais la courte échelle que j'aille faire diversion ? Ou bien on reste ici et on attends demain pour partir mais d'ici-là ils auraient bien bel de rentrer nous manger. »
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