PSYCHOLOGIE ▬ Marines ! Qui vous a dit d’abandonner ! On garde la position… Cela remonte maintenant à un souvenir lointain où les hommes pouvaient encore penser et être humain. Mon caractère… Je suis comme je suis aujourd’hui, grâce à mon père. Il m’a élevée toute seule, étant un militaire. Je dois avouer que j’ai un morale d’acier. Je suis les ordres, les stratégies élaborées par mon paternel. Suivre les consignes et obéir, prouve que je suis facilement docile, calme et je ne recherche jamais la bagare. Cela fait partie de mon caractère. Soumise ? Vous croyez que dans le monde d’aujourd’hui, on peut se l’autoriser ? Cela n’a jamais été mon cas. Je suis une dominante, avec un fort caractère. Certaine personne pourrait me définir comme une leader. Seconde de mon père et privilégiée, j’étais le genre de fille à vouloir prouver à mon père que j’étais la meilleure. J’écrasais la moindre personne pour réussir à prouver son attention. Enfin, je pense que vous aurez compris. Aujourd’hui, dans ce monde, j’ai légèrement changé. Je vis avec de la rancune. Mon père a voulu me bouffer. On me l’a enlevé. Je suis protectrice envers toute personne qui sait parler et qui n’a pas une envie de manger. Je peux rajouter, que je sais quand une cause est perdu. Je ne vais pas sauver une personne si les chances sont minimum. Je suis lâche et j’abandonne facilement une personne, sauf Wyatt. Si j’ai une chose à rajouter ? Non, aucune. Je fuis. J’explose des têtes pour survivre. C’est ce que je suis. Si vous me voyez, c’est une question de chance. Je me sépare jamais de mon couteau et de mon attirail. Je suis consciente de la deuxième chance qu’on m’a offert. Je ne suis pas comme eux. Je suis légèrement folle et déroutante. Cela est normale. Dans le monde d’aujourd’hui, je préfère ressembler à un grand méchant que de me faire manger par une ancienne connaissance. Ne jamais abandonnez un homme sur le terrain, je l’applique actuellement que pour un marine.
POINTS FORTS ▬ Mes points forts, la discipline, mon entrainement chez les marines, la volonté ? Je combattais avant pour ma partie, mais comme elle est partie en déroute. Je combats pour ma survie maintenant. J’arrête toute forme d’honnête ou encore de réussir dans la communauté. La culpabilité, je ne la ressens plus. Si on se laisse envahir par un sentiment futile, cela peut nous conduire à notre perte. Je ne sais pas si vous êtes d’accord. Je serais prête à lancer un enfant pour ma survie, avec une jolie phrase : « Tenez, c’est la maison qui l’offre. ». Horrible ? Je suis horrible. C’est grace à ça que je survis. J’ai un objectif, je le suis. Si on sort de cette objectif. On essaie d’en retrouver un autre. J’étais la meilleure sniper de mon unité, qualité exceptionnel pour être une guerrière. J’avais un rivale pour ce qui correspondait à circuler la nuit avec une vision nocturne. C’est un de ses talents qui a réussi à me sauver, donc j’enlève ce point. Je suis assez agile. Quand on fixe un point et on me donne l’ordre de courir, je peux l’atteindre en repoussant les obstacles. Je donnes des coups, je saute, je détruis et j’arrive. Je suis heureuse aujourd’hui de savoir que je suis une ancienne marines.
POINTS FAIBLES ▬ Mon plus grand point faible, c’est Wyatt Anderson. Mon ami d’entraînement. Il est comme un frère pour moi, voir plus. Je ne pourrais me passer de lui. Si je suis encore en vie. C’est uniquement grâce à lui. Il m’a sauvé. Je lui donnerais ma vie. Si vous le détonnez, vous détonnez une arme. Je suis prête à tout pour lui. Si on me demandait de poser mes armes et de divertir des zombies, je le ferais. Quoi que, je tenterais de lui mettre une balle dans la tête. L’esprit d’équipe, si vous êtes une personne que j’estime indispensable. Je me battrais pour votre cause. Je réagis beaucoup à l’instinct. Si je dois me salir les mains pour une personne faible, je vous enverrai balader. C’est ma plus grande erreur, car beaucoup de personne m'ont tourné le dos à cause de ce trait de caractère. Non, que je sois détestable. Je vous nargue avec un grand sourire et vous fait comprendre que ce sera vous le prochain et non moi. Une chose aussi, mais je ne vous l’avouerai jamais. La nuit, je campe. Malgré que je sois une marines. J'ai une phobie, la peur de l’obscurité. C'est un vrai handicape. Croyez-moi. Je camperai toujours la nuit et serai toujours extrêmement tendue, voir en alerte. Mon calmant, je l’ai perdu. Wyatt Anderson est perdu. Actuellement, il ne vaut mieux pas jouer avec mes nerfs d’acier. J'ai oublié de préciser aussi dans mes habitudes. Je vous ai parlé du moment ou je faisais une fixation ? Mon père a remarqué que j'étais bornée, extrêmement têtue, une fois que je recevais un ordre. Il fallait que je le fasse. J'ai de la peine à changer de chemin ou à trouver un stratégie de dernière minute. Wyatt avait du me donner une fois un coup de crosse pour pas que je me fasse prendre ou encore la fois ou je voulais pas abandonner un homme sur le terrain. Cela est un vrai handicape aussi. Je suis facilement perdue. Toute ma vie, on m'a donné des ordres. Là, je dois retrouver mes deux marines et il faut nous tirer de cette galère...
APPARENCE ▬ Belle à en croquer ? Oui je sais. Beaucoup de personne croit en me voyant que je suis mannequin ou encore actrice pour film bon marché. Je vais vous avouer la vérité. Je suis une femme fatale. Je suis belle. J’ai pas peur. J’assume mon corps et j’en ai assez profiter à mon avantage. Je ne fais pas partie de ces personnes qui se cachent. Lors des soirées de mon père, j’étais à son bras avec un sourire béant pour réussir à attirer l’intention sur lui pour ses directions. Quand je suis en mission ou encore en compagne, je suis vraiment un garçon manqué. Je ne ressemble plus tellement à ce qu’on appelle une femme. Une paire de Raybans, les cheveux attachées avec une casquette, mon uniforme, je suis comme n’importe quel soldat. Si je dois poursuivre des soldats pour divers papiers de transfère d’unité, je suis assez à mes aises, robes, t-shirt-jeans. Ou simplement le pantalon militaire avec un t-shirt noire. Je vous dis. Vous m’avez peut-être déjà croiser. Voyageant dans toute l’Amérique et d’autres pays, je fois avouer que je sais à quoi m’en tenir avec mon physique. Caractère très explosive, je déteste qu’on me traite de barbie. Une fois, j’ai comment dire donner un coup dans les attributs d’un homme. Je sais pas si aujourd’hui il pourrait encore faire des gamins. Je veux prouver ma valeur, pas en temps que poupée, mais en temps que soldat. Je me permets d’avoir des libertés, mais les autres doivent le respecter. Je n’hésite pas à me changer devant une personne, qui pourra voir mon soutien-gorge. Je suis pas très pudique. Il faut faire dans l’efficacité. Le t-shirt est sale, je suis dans un super marché. Je profite de le changer pour pas me casser la tête. Si je vais dans une cabine, je risque encore de me faire avoir par un zombie. La prévention vous pousse à faire des choses de nos jours. On peut rien se permettre.

Washington, le 6 avril 1984 à 20 heures 34 minutes 21 secondes. Je vous présente ma date de naissance. Quand j’avais demandé à mon père de me raconter plus sur ma naissance, il a d’ailleurs rajouté après : « Ma fille, c’est au même moment que ta mère est morte. ». Chouette. Je le savais déjà. C’est dans ces conditions que j’ai grandi, avec un père militaire où tout se jouait à une seconde prêt. Je pouvais comprendre qu’avec son métier. Il ne pouvait pas être un père tendre et aimant. Il voulait m’éduquer à sa manière, à la dure dans un monde de brute. Il ne voulait pas échouer une deuxième fois. C’est ce qui le rendait d’ailleurs souvent maladroit. Je ne lui en veux pas pour ça. J’ai grandi à Washington pendant mes premières années jusqu’à cinq ans où j’avais une vie normale. J’étais allée à la maternelle, à l’école…. J’étais pas tellement un fardeau dans cette époque. Après il a reçu une promotion. Il avait été promu pour diriger et former des élites dans les marines, étant lui même un ancien marines. Il n’a pas pu refuser. Je suis partie de Washington pour atterrir dans une base où je faisais des devoirs par correspondance. Mon père m’enseignait à être le parfait soldat. Avec les cours, j’appris à faire les gestions, donc j’aidais mon père pour divers formalités, devenant en même temps sa secrétaire à l’âge de 18 ans. Je dois avouer que je n’avais pas le temps de penser à ma personne. Mon père me tiraillait de tous les côtés. Il m’arrivait de sortir quand Wyatt est arrivé à la base. Cela me détendait et me faisait reprendre une vie presque normale, loin des opérations tactiques, que je devais faire. Pendant 7 ans, j’ai travaillé comme marines, suivant des missions et des entraînements. Mon père avait avoué qu’il aurait bien voulu avoir un garçon, car j’étais un fardeau pour certaine tâche. J’étais incapable de porter des sacs ou des caisses supérieures à un certain poids. Cela me gênait pas. Je sais que je suis brève avec ma vie, mais j’ai pas envie de rester sur le sujet. C’est le passé et cela restera dans le passé. Aujourd’hui, on va dire que j’ai troqué mon âme contre le diable. Il le faut bien non ? Avec la formation qu’on m’a donné, on m’a toujours dit de ne pas s’attarder sur des paroles, mais sur les actes qu’on faisait. J’ai oublié mon passé et je veux pas en parler, aux grands désespoirs de Wyatt… Il me répète sans cesse que le passé fait de nous ce que nous sommes. Il aime pas trop l’idée que je puisse oublier certains faits. Cela crée quelques tensions, mais c’est pas depuis hier que c’est là… Actuellement, je compte repartir et vous laisser sur votre faim, car j’ai pas envie de me faire manger par ces cannibales.